Heureusement pas trop de mal à circuler, même si de nombreux travaux de voirie sont en cours, (un pays en grand bouleversement) et s'il y a très peu de marquage au sol.
Pour le GPS on n'a pas intérêt à oublier les trémas ou les circonflexes sinon il ne connait pas.
Ici les Estoniens se la pètent, quitte à s'endetter et choisissent de grosses allemandes, (leurs voitures, car point de vue de leurs blondes Estoniennes, c'est plutôt les tailles mannequins qui prédominent dans ces berlines de haut de gamme) et ils laissent les moteurs tourner pour aller faire leurs courses, ou restent au volant une demie heure moteur allumé... Gavant quand tu veux écrire ton blog peinard!!!
A Kurista on a vainement cherché une stèle d'un certain François Guillemot, marin breton remarqué par le tsar et qui est devenu amiral de sa marine impériale. On aurait aimé lui rendre hommage.
Balade en forêt à Taevaskoja où les affleurements minéraux devaient être intéressants, on est resté sur notre faim.En tout cas, on y a trouvé plein de champignons
Idem à Piusa, à la frontière russe, oui encore! mais c'est grand la Russie! Si grand et pourtant pas moyen de la voir car le Poutine a déclaré "Pour vivre heureux, vivons cachés et il a rajouté en apparté "de préférence derrière talus, miradors et barbelés", donc on a juste vu dépasser les bouleaux.
A Piusa donc, une mine de silice réputée avec des colonies de chauve-souris uniques en Europe, eh bien on n'a rien arpenté ni vu le moindre battement d'aile, si ce n'est en film. Chiqué!
Déception également pour le lac blanc (aux eaux claires) que l'on a trouvé, sans faire la fine bouche ,un peu trouble à notre goût, du coup on a laissé tomber son ante-Christ le lac noir...
Heureusement Catherine avait prévu un couchage du tonnerre au château de Sagnist du comte de Von Berg à Lossiküla!
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